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La maltraitance infantile : le cheval de bataille de l’Enfant Bleu

29/09/2024

La maltraitance infantile : le cheval de bataille de l’Enfant Bleu

Présidente de l’association L’enfant bleu, Isabelle Debré, confie que « 24% des français relatent des événements de leur enfance, assimilables à de la maltraitance sexuelle, physique, psychologique ou à des négligences lourdes. » Un état des lieux noircit par le harcèlement scolaire (19% des jeunes en primaire, 5% des écoliers du CE2 au CM2, 6% des collégiens et 4% des lycéens selon les chiffres de l’enquête nationale présentée par le ministère de l’Éducation nationale le 12 février 2024) et par les infanticides. Un enfant est tué pas ses parents tous les cinq jours ! Les auteurs présumés ? À 45%, le père ou le beau-père et à 25%, la mère ou la belle-mère. C’est édifiant !
Rien que cet été à Marseille, une animatrice de centre aéré a infligé des punitions humiliantes à un petit garçon. À Orléans, un enfant de 2 ans est conduit aux urgences parce que couvert de coquards, d’hématomes, d’ecchymoses, de fractures, de lésions dues à des strangulations et des coups portés. À Reims, un couple a été mis en examen pour « actes de torture et barbarie » sur leur nourrisson de 10 mois…Des faits qui font froid dans le dos et qui démontrent combien l’enfance est en danger.
Il faut agir pour lutter contre ses maltraitances. Pour Isabelle Debré, cela doit devenir une priorité. Acteur majeur dans le domaine de la protection de l’enfant, son association L’enfant bleu, n’a de cesse depuis plus de 30 ans d’accompagner les enfants victimes, mais pas que.  Elle soutien et conseille également les adultes ayant subi des maltraitances dans leur enfance. De quelles manières ?


- Par un accompagnement personnalisé (écoute téléphonique bienveillante, accompagnement thérapeutique, accompagnement juridique).
- Par de la prévention en intervenant dans les établissements scolaires (de la maternelle au collège) pour informer les enfants sur ce que sont les maltraitances avec leurs risques et conséquences et avertir autant les équipes scolaires que les parents.
- Par des campagnes de sensibilisation souhaitant attirer l’attention et la vigilance du plus grand nombre. La toute dernière a été réalisée en partenariat avec l’agence Havas Play sur les dangers que représentent le « Sharenting » (contraction de sharing = partager et de parenting = parentalité) cet usage consistant à partager publiquement sur les réseaux sociaux, les photos de ses enfants. Ce que les parents ignorent, c’est que 50% de leurs publications se retrouvent sur des forums pédopornographiques. Une réalité qui a donné l’idée d’un livre « La folle aventure du doudou d’Emma » (Havas Édition) ayant pour vocation d’être lu aux enfants par leurs parents qui sont, à la toute fin de l’histoire, invités à remplacer mentalement la photo du doudou d’Emma par celle de leur jolie petite tête blonde ; l’objectif étant la prise de conscience à la bonne utilisation et aux bonnes pratiques numériques.
- Par des ateliers de prévention organisés au sein des entreprises pour que soit mobilisée la vigilance des salariés afin de savoir détecter et reconnaître la maltraitance faite sur les enfants.
- Enfin, en se portant également partie civile lors de certains procès afin de dénoncer les dysfonctionnements du système.

 

Vous l’aurez compris, L’enfant bleu est une association qui se mobilise et qui actionne tout au long de l’année. Pour l’y aider, il y a les dons, les partenariats. Elle peut aussi compter sur l’engagement et le soutien de parrains (l’animatrice Julie Andrieu, le journaliste Mohamed Bouhafsi, la comédienne Valérie Karsenti) et d’ambassadeurs, tous fervents défenseurs de la protection de l’enfance. 


Un enfant ne doit subir aucun sévices. Nous sommes tous concernés. Chacun à notre niveau d’humaniste, nous pouvons et devons interagir. La vie d’un enfant peut en dépendre Il suffit de se rapprocher de l’Enfant Bleu. Plus d’informations sur www.enfantbleu.org

 

(c) visuels : DR/Association l'Enfant Bleu

 

La reconstructon mammaire va avoir sa journée de sensibilisation

24/09/2024

La reconstructon mammaire va avoir sa journée de sensibilisation

Face à l’insuffisance d’information sur les possibilités de reconstruction mammaire proposées, face au manque de centres spécialisés dans les méthodes et techniques existantes et face à la surcharge des centres experts, il est grand temps d’agir. L’hôpital public et l’hôpital privé l’ont compris. C’est pourquoi ensemble, ils ont souhaité conjuguer et unir leur action pour alerter les pouvoirs publics, afin que soit sensibilisé le plus grand nombre à ce qu’est la reconstruction mammaire et que les femmes en demande après une mastectomie (choisie ou subie), soit informées sur leurs champs des possibles.


Les États-Unis, le Canada et la Belgique ne nous ont pas attendu. Depuis plus de quinze ans, ils organisent la BRA DAY (Breast Reconstruction Awareness, mais également BRA = Soutien-gorge en anglais), la journée dédiée à la reconstruction mammaire. À l’initiative des chirurgiens experts de Restitute, l’unité de reconstruction de l’Institut du Sein Paris fondée par le Dr Krishna CLOUGH et Isabelle SARFATI, la France va « rattraper » ce retard. Ils ont décidé de s’associer aux chefs des services de chirurgie plastique de l’Assistance Publique, les Professeurs Laurent Lantieri (Hôpital Européen Georges Pompidou) et Michael Atlan (Hôpital Tenon) pour lancer dans le cadre d’Octobre Rose, la 1ère édition de sensibilisation à la reconstruction mammaire. Cette grande première qui aura lieu le 16 octobre prochain a le souhait et l’ambition de fédérer l’opinion et les consciences pour permettre :

  • Aux femmes ayant eu une mastectomie de bénéficier, si elles en sont désireuses, d’une reconstruction de leur poitrine.
  • De faire de la reconstruction après ablation une norme et non plus une exception.
  • Que la reconstruction immédiate lorsqu’elle est possible, soit toujours proposée aux patientes.
  • Que toutes les femmes puissent bénéficier de toutes les techniques de reconstruction existantes.               

 

Vous l’aurez compris, il y a urgence à agir et à informer au nom des femmes, de leur féminité, de leur identité et de leur process de reconstruction. Cette importante initiative doit donc être saluée, encouragée, soutenue et suivie. Alors, rendez-vous est donné le 16 octobre prochain. 

Chris Gibson chante « Rio de Janeiro »

30/07/2024

Chris Gibson chante « Rio de Janeiro »

Eh bien, 46 ans après (ça ne nous rajeunit pas !), son leader Chris Gibson est en préparation d’un tout nouvel opus dont les collaborations promettent d’être inédites. Fera-t-il mieux que 5 millions de disques vendus. C’est tout ce que l’on peut lui souhaiter.

Il est déjà certain que son premier extrait featuring « Rio de Janeiro » soit en train de se frayer une jolie place dès cet été. En quoi cela ? Parce que c’est un titre au nom évocateur, chanté par Dario Moreno (« Si tu vas à Rio »), Claude François (« Je vais à Rio ») et Line Renaud (« Copacabana »). Parce qu’il est interprété en duo avec Catia Werneck du groupe Kaoma. Comme l’explique Chris Gibson « cette collaboration s’est réalisée de manière très naturelle. Nos voix, bien que très différentes tant par leur timbre que par leur couleur, se sont harmonieusement complétées, créant un mélange intéressant » Résultat ? « Rio de Janeiro », un titre entraînant à souhait qui est une dédicace à « la Ville Merveilleuse », capitale de la démesure, de la fête, du carnaval, de la lambada, du foot, de la Capoeira, des favelas, des plages, des torses body buildés et des bikinis … « Rio de Janeiro » est une invitation au voyage au son du funk et du disco et de la chaleur brésilienne. C’est un single coloré comme on les aime, disponible sur toutes les plateformes. 
Alors « é tudo de bom.» Cet été « Quiero baila la salsa » !
Lien du clip :   
https://youtu.be/VX0OrerZsDM

 

(c) visuels : DR/ Service de presse

 

 

L’artiste maudit mis en lumière au musée d’Orsay

07/01/2024

L’artiste maudit mis en lumière au musée d’Orsay

C’est dans ce village pittoresque du Val d’Oise, proche de Paris et berceau inspirant de la peinture de plein air pour bon nombre d’artistes, que le peintre néerlandais a passé les deux dernier mois de sa vie ; espérant surtout que le docteur Gachet, spécialiste de la mélancolie, l’aide à faire face à son mal-être. Le calme ambiant lui donne un élan créatif différent, immortalisé par son puissant trait de pinceau. Résultat : 33 dessins et 74 peintures, dont certaines sont considérées aujourd’hui comme ses plus grandes œuvres. On y découvre des toiles riches d’intensité par leurs dominantes de vert, de jaune et de bleu représentant le village, ses habitations, son château, ses habitants, l’étendue de ses paysages et de sa campagne auvernoise. On y ressent surtout la mélancolie et la solitude d’un homme tourmenté et dépressif, psychiquement éprouvé par ses nombreuses crises délirantes. La dernière aura raison de lui. L’artiste se tirera une balle dans la poitrine en plein milieu d’un champs, au soleil couchant. « Je l’ai fait pour le bien de tous ». Il avait 37 ans.
Cette exposition est un ultime voyage, comme un dernier carnet de route. Un instantané des journées de l’artiste, de ses rencontres, qui lui vaudront bien des décennies plus tard, la reconnaissance tant attendue de son art.


« Van Gogh à Auvers-sur-Oise », exposition au Musée d’Orsay (Paris VIIème) jusqu’au 04 février 2024 – du mardi au dimanche de 09h30 à 18h00 – Réservation sur www.musee-orsay.fr

 

 

 

 

Talexence, met le confort à ses pieds

03/12/2023

Talexence, met le confort à ses pieds

Et pourtant, la chaussure aiguille s’est imposée au fil des années. Merci surtout à la reine Catherine de Médicis qui l’a découvert lors d’un voyage en Italie et qui l’a rendu tendance lors de son mariage en 1533. Depuis, le talon n’a eu de cesse d’évoluer et d’agiter les mœurs. Il est devenu l’accessoire de mode indispensable aux femmes. Il sublime n’importe lequel de leur look, leur donne de l’assurance et de l’élégance. Bref, il est aujourd’hui une arme redoutable de séduction. Oui mais. Au-delà de son esthétique, le talon doit être pratique. C’est là que le bas blesse. Car nous avons toutes dans nos placards des chaussures que nous adorons, mais que nous ne mettons que très rarement, voire, pas du tout, du fait qu’elles nous font trop mal aux pieds.  Une situation insupportable pour la fashionista que nous sommes ! Quel gâchis ! Il fallait réagir. Les frères Keller ont sauté à pieds joints à la demande d’un mannequin qui, perchée toute la journée sur ses talons pour des castings, cherchait à avoir un confort inégalé. Il aura fallu plusieurs années de recherches pour que Grégory le podologue fondateur, transforme un escarpin conventionnel en une création révolutionnaire. De talon à talent il n’y avait qu’un pas. Arnaud, le designer lui a donné le nom de Talexence


Fusion des mots talon et excellence, le rêve est donc devenu réalité. Les frères Keller ont créé une chaussure au design intemporel, avec un talon de 8,5cm de haut. Chaque modèle en cuir véritable est fabriqué sur-mesure à la main en Italie. Quid du confort attendu ? Le soutien de la semelle de montage a complètement été repensé, grâce à des matériaux de qualité reconnus dans le domaine podologique, offrant ainsi aux pieds un bien-être optimal. 
Chaque escarpin étant unique (numéro de série pour chaque modèle), la qualité a donc un coût :  900 euros, qu’il est possible d’honorer en plusieurs échéances.  Dans un futur proche, la gamme Lunexence, distribuée exclusivement sur le site de la marque, va s’agrandir ; de quoi nous permettre de bien trouver chaussures à nos pieds. A suivre donc. Plus d’infos sur www.talexence.com

 

(c) visuel : DR/Talexence